Les responsables de l’International Police Chaplain Human Rights (IPCHR), via une note parue le dimanche 13 octobre 2024, clarifient et s’excusent auprès de l’Interpol suite à une erreur de communication qui a été survenue lors de l’intervention de leur porte-parole, M. Guyberson Chéry, à l’émission Le Point sur la Radio-Télé Métropole le 19 août dernier.
La rédaction de NAM-HAITI soumet la note intégrale de L’IPCHR à l’attention du lectorat du média. Nous vous encourageons à procéder à une lecture complète pour avoir une idée de ce qui y est véhiculée.
Le bureau de l’International Police Chaplain Human Rights en Haïti (IPCHR) salue la presse parlée, écrite, télévisée, média en ligne ainsi que la population haïtienne. L’IPCHR tient à présenter ses plus sincères excuses à l’Interpol, la Police Nationale d’Haïti ainsi que la population Haïtienne pour cette regrettable erreur survenue lors de l’intervention de notre porte-parole, M. Guyberson Chéry à l’émission Le Point sur la Radio-Télé Métropole le 19 août dernier.
Durant cette émission, notre Porte-Parole a malheureusement énoncé « Interpol » en lieu et place de « International Police Chaplain Human Rights » qui est une institution internationale, religieuse et humanitaire travaillant en Haïti depuis plusieurs années. Ce malentendu a malheureusement causé des ennuis majeurs au milieu des différentes institutions, en ce sens, nous tenons clairement à clarifier les faits suivants.
1- IPCHR se définit comme étant » Interpol Police Chaplain Human Rights « .
2- IPCHR et Interpol sont deux institutions différentes.
3- L’IPCHR est dirigée par son « Commandant en chef » Le Général Jocelin Jean Charles.
4- L’IPCHR possède une cellule d’investigation « Haitian criminal investigation services » plus connue sous le nom de HCIS.
5- L’IPCHR a principalement une mission d’appui en Haïti et ne nuit en aucun cas la mission de la Police Nationale d’Haïti.
L’IPCHR renouvelle son engagement auprès de la population Haïtienne et de ses partenaires dans ces moments de troubles et présente ses plus sincères excuses à l’Interpol en Haïti ainsi qu’à la Police Nationale d’Haïti.
