La République bolivarienne dans une note publiée dimanche, dénonce et alerte le monde sur une opération d’intervention contre le processus électoral, notre droit à l’autodétermination et la souveraineté de notre patrie, par un groupe de gouvernements et de puissances étrangères.
Ce groupe, une version du tristement célèbre, défunt et vaincu Groupe de Lima, qui comprend des fonctionnaires gouvernementaux de l’Argentine, du Costa Rica, de l’Équateur, du Guatemala, du Panama, du Paraguay, du Pérou, de l’Uruguay et de la République dominicaine, ainsi qu’un groupe de tueurs à gages politiques d’extrême droite spécialisés dans la déstabilisation des gouvernements d’Amérique latine, tels qu’Iván Duque, qui est membre du Groupe de Lima, est en train de mettre en place un programme d’intervention contre le processus électoral.
En Amérique latine, Iván Duque, Mauricio Macri, Andrés Pastrana, Oscar Arias, Marco Rubio et Rick Scott tentent de saper ce qui s’est exprimé aujourd’hui dans la paix et l’esprit civique dans notre pays, qui n’est autre que l’exercice du droit de vote du peuple.
Le droit de vote s’exerce au Venezuela avec une liberté et une légalité absolues, sous l’égide de nos lois et le contrôle de l’un des cinq pouvoirs publics de l’État, le Conseil national électoral. Et ce, à travers un système transparent, sûr et inviolable, reconnu comme l’un des meilleurs au monde, qui garantit pleinement le principe d’un électeur, un vote.
Les mêmes qui ont reconnu une marionnette en 2019 entendent l’imposer aujourd’hui en 2024.
Cette opération misérable et désespérée est vouée à l’échec parce que le Venezuela est un pays libre et souverain et n’acceptera jamais d’impositions ou de chantages et encore moins d’organismes étrangers sans moralité ni légalité pour attaquer nos droits et notre peuple.