Dimanche, le ministère de la Santé de Gaza a annoncé un bilan tragique : plus de 50 000 Palestiniens ont perdu la vie depuis le début du conflit avec Israël. Ce chiffre a été atteint après l’ajout de 41 décès supplémentaires au cours des dernières 24 heures, portant le total à 50 021 morts. La situation dans l’enclave palestinienne s’aggrave chaque jour à mesure que les frappes aériennes israéliennes reprennent avec une intensité dévastatrice.
Les dernières frappes aériennes, qui ont commencé mardi, ont fait plus de 400 victimes supplémentaires, selon les autorités sanitaires locales. Ces frappes, concentrées sur des zones densément peuplées, ont causé d’immenses destructions dans les infrastructures et dans les quartiers résidentiels, plongeant davantage la région dans une crise humanitaire sans précédent.
Depuis le début des hostilités, les hôpitaux de Gaza, déjà débordés et manquant de ressources médicales, sont incapables de répondre aux besoins croissants de la population civile. L’accès à l’aide humanitaire reste limité en raison du blocus et des violences qui empêchent les convois d’atteindre les zones les plus touchées.
Les appels à un cessez-le-feu humanitaire se multiplient, mais la communauté internationale reste divisée face à la situation. Tandis que certains pays plaident pour un arrêt immédiat des hostilités afin de permettre l’acheminement de l’aide, d’autres soutiennent la légitimité des actions militaires israéliennes, soulignant la nécessité de défendre la sécurité de l’État hébreu.
Pendant ce temps, les civils palestiniens continuent de subir les conséquences tragiques de ce conflit, perdant des vies, des proches et des maisons dans une guerre qui semble se renforcer chaque jour. La pression sur la communauté internationale est croissante pour parvenir à une solution durable, mais la situation à Gaza demeure désespérément incertaine.
